La Protection
Encore et encore du sable
Maintenant il y a le sable
Et oui ,déjà arriver là .
Mais juste avant,il y a eu une dalle de chaux au dessus du socle,un montage de
briques réfractaires pour la sole, puis fabrication d'un gabarit pour les mesures du four intérieur et un autre pour la voute. Les différentes couches qui forment une épaisseur de 30 cm,sont en terre/paille.Les mélanges dépendent de la couche où elle se trouve. Tous ses mélanges sont fait dans une baignore ,où l'on trempe la terre pour y ajouter ensuite de la paille mais aussi parfois du sable.Tous ses matériaux n'ont été que de la récupération.
Elle est balaise ma frangine ,non !!!!
çà continue
Presque la première !!!
Le Retour
Mais c'était bien beau toute cette théorie,mais par quoi commencer ???????
Il fallait un lieu ,où l'on puisse mettre un four,et comment faire sans budget ????
Pour le lieu ,ce füt vite trouver,ma compagne de vie y a mis du sien.
Et pour le four,le bonheur d'avoir une soeur (sabine) dans l'écoconstruction ,nous a permis d'autoconstruire un four en terre /paille d'une contenance de 10 à 11 kgs.
Pour le planning de construction,le moi de mai ,allait garantir beaucoup d'activités ,de réflexions et de courage.
Le soleil fût de la partie.Pour une meilleure compréhension de l'évolution,une série de photos serait la bienvenue !!!!
Le Commencement
C'est un séjour en bretagne,dans la douceur d'un mois de janvier,que l'idée à commencer.Venu en visite dans la famille et se préparant à l'initiation de la fabrication du pain au levain naturel ( bio ),je me retrouvais chez des paysans boulangers chez qui,j'allais passer une petite semaine,pleine de graines d'avenir.
La rencontre fût excellente dès le début,la simplicité,l'accueil,la joie de vivre de ses bretons n'y était pas étranger.
Ses paysans boulangers avaient une petite ferme du côté de plélan le grand,au nord ouest de Rennes;ils y fabriquaient le pain,y cultivaient le blé et y tamisaient la farine.
Des journées de fabrication ( à la main ) de la pâte,des patons,des pains,en passant par la fabrication des fagôts ( pour la chauffe ),jusqu'à la vente sur les marchés bios du coin.
Même si le temps était court,tout m'était appris pour démarrer,il ne me restait qu'à continuer l'ouvrage dans le pas de calais,en sachant que la route était longue mais tellement motivante.
Le but n'était surement pas d'y voir un quelconque regain financier mais tout le contraire,c'est à dire de vivre pour travailler,non l'inverse.
Une autre façon d'évoluer dans le travail,non pour la quantité mais la qualité.